Pays de… merveille…
C’est certainement ce qu’a voulu dire la star, payée 65000 € par jour, pour taper dans un ballon. Rond le ballon et gonflé… le mec ! A Rome, ballon ovale, match bien moyen, et nos amis transalpins un peu ternes. Mais on a gagné !
A Rome encore, François nous annonce, lucide et modeste, qu’il ne fera pas merveille longtemps ; et ça nous fera vraiment peine…
Pays de merveille…
Énième proposition de rendre le vote obligatoire : ça se fait ailleurs, il est vrai. Certes, l’abstention ne facilite pas les choses. Rendre le vote obligatoire un dimanche, c’est une idée. Mais donner l’envie de voter le reste de la semaine, voilà une idée qu’elle est bonne !
Pays de merveille…
Martin passe la ligne en or (loin des 2 millions par mois) et console immédiatement son frangin qui vient de rater le podium de cinq secondes ; sans oublier non plus l’hommage à celles et ceux qui ont franchi là-haut, là-bas, une autre ligne, à l’horizon…
Pays de merveille…
Bénévoles qui font merveille en secourant les plus démunis contre la faim et la mise à l’index. Qui font sourire les enfants dans les hôpitaux. Qui manifestent, eux, contre le gaspillage alimentaire, la richesse mal distribuée. Qui, parfois démunis eux-mêmes, donnent de l’affection à leurs frères piétinés, aux animaux massacrés, à la planète outragée…
Pays de merveille…
Chanté par « Jean de France », parti il y a cinq ans déjà, amoureux de son pays et engagé pour lui. Merveille !

Photo : fulmar boréal, îles Kouriles © Samuel Blanc